Souhaitez-vous réaliser des travaux de plomberie ou des travaux souterrains dans des espaces réduits ? Ressentez-vous le besoin immédiat d’une caméra d’inspection pour contrôler l’état des canalisations, conduits, pipelines, inspections de bâtiment, des puits… ? Quels sont les critères à prendre en compte pour acquérir cet outil de grande utilité ?

Les caractéristiques de l’appareil

D’importants détails caractérisent la caméra d’inspection. Il s’agit principalement de la capacité de l’appareil à répondre aux besoins spécifiques à chaque utilisation. À cet effet, on distingue différents types de caméras d’inspection sur le marché, précisément auprès de La Bonne Bricole. Vous avez les endoscopes industriels, les caméras d’inspections verticales et les caméras d’inspection de canalisations. Quel que soit le type concerné, voici les caractéristiques à prendre en compte.

Son poids

Destinée à être transporté partout par son utilisateur, la caméra doit être légère et maniable. Son poids varie en fonction de ses capacités linéaires d’exploration et de la taille de sa tête d’exploration. Une valise ou un container de transport s’avèrent indispensables pour ne pas l’abîmer.

La longueur du jonc

La base ou le support de caméra est constitué d’une tige flexible (jonc) de longueur comprise entre dix et plusieurs centaines de mètres. Des appareils plus spécialisés utilisent des techniques différentes dont la caméra suspendue pour les explorations verticales comme la tige articulée pour les espaces volumineux. Dans ce cas, un trépied support de jonc manuel ou motorisé est un élément de confort et de gain de temps assez considérable. Vous pouvez retrouver cet équipement chez La Bonne Bricole.

Connaître le diamètre d’exploration

Chaque caméra est élaborée pour fonctionner de façon optimale dans une fourchette de diamètre compris entre 25 et 600 mm. Soyez sûr que le diamètre d’exploration minimal inclut les traversées de coudes à 90°.

La caméra

Pour un bon choix, il est important de prendre en compte minutieusement ses précisions. Il s’agit des caractéristiques, de la performance et de la compatibilité de l’appareil en fonction de l’usage envisagé. Il est indispensable d’avoir une idée sure :

  • L’encombrement (longueur et diamètre) ;
  • Les performances d’étanchéité (code IP) ;
  • Le type de visée (axiale, radiale ou double visée) ;
  • L’angle de vision ;
  • Le type du capteur ;
  • La profondeur de champ ;
  • Les possibilités du zoom ;
  • La direction, la portée et le mode d’éclairage (emplacement et nombre de LED) ;
  • Le type de données renvoyées sur l’écran (affichage du compteur métrique, de la direction, de la température…).

En tant que premier élément du système, la caméra représente l’œil de l’opérateur lors des travaux.

Le choix de bonnes fonctionnalités

Pour maximiser le fonctionnement d’une caméra d’inspection, il existe plusieurs options à prendre en considération. Vous avez d’abord le compteur métrique qui permet d’avoir un affichage en temps réel du décompte sur votre écran de visualisation. Ceci est indispensable surtout si vous réalisez un travail de localisation. Disposer d’une batterie bien autonome vous permet également d’éviter que votre caméra vous lâche sur le chantier. Un modèle capable de fournir entre 3 à 4 heures d’autonomie réelle peut vous satisfaire.

Vous aurez aussi besoin d’enregistrer des photos et vidéos prises. Pour cela, une carte SD ou une clé USB vous est des fins pratiques. Enfin, certains professionnels vont aussi avoir besoin d’autres fonctionnalités plus avancées comme la localisation. Elle permet en effet de localiser leur tête de caméra pour pouvoir intervenir à l’endroit exact une fois l’anomalie repérée. Les têtes de caméras munies d’une sonde émissive sont recommandées pour cet usage.

Quel budget pour une bonne caméra d’inspection ?

Comme n’importe quel produit, les prix d’achats d’une caméra évoluent en fonction de la technologie mise en œuvre. Le degré de sophistication, la capacité d’exploration, la marque et le distributeur ne sont pas occultés. Pour des endoscopes de quelques mètres à brancher sur un PC ou un smartphone, quelques dizaines d’euros pourrait suffire. Pour une caméra spécialisée autonome munie d’un support entre 30 et 60 m, comptez entre 2 000 et 3 000 € TTC. À l’opposé, il vous faut plus de 10 000 € TTC pour un système spécialisé à tête rotative. Chez La Bonne Bricole, vous avez la garantie d’un meilleur rapport qualité-prix.

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